ARTHEMISIA : un nom
Thémis (Déesse de la Justice, de la Loi et de l'Équité) , est contenue dans les flancs d’Artemis (déesse de la nature) ... La justice est fille de la nature qui nous héberge ... Justice naturelle garante de l’équité, de l’impartialité,et consequemment du droit à la vie, du droit à la liberté, et du droit à la sécurité de la personne. Par ailleurs, la plante artemisia annua est un des traitement utilisé par de nombreux pays contre la COVID notamment à Madagascar . La vente de cette plante a été interdite en France, à l’instar des interdictions qui ont frappé l’hydroxychloroquine, l’ azithromycine ou l’ivermectine. L’existence de traitements rendait impossible la mise sur le marché conditionnelle des « vaccins » ARN expérimentaux. Il fallait donc prononcer leur inefficacité ou leur dangerosité.ARTHEMISIA évoque dans son nom, cette problématique des traitements alternatifs en rejet de l'imposition d’un traitement génique unique.
Arthémisia voit le jour, en Lorraine, à l’occasion de la crise sociale provoquée par des décisions sanitaires disproportionnées voire totalement infondées, portant gravement atteinte aux valeurs fondamentales de notre démocratie et conséquemment, à l’état de droit.
Ces décisions ont engendré une multitude de situations préjudiciables aux citoyens de France allant jusqu’à mettre en danger des pans complets de populations sur les plans sanitaire, psychologique, social et économique.
Appuyés par des médias partisans, foulant au pied la déontologie de la presse, les responsables politiques de cette situation ont pris toute une population en otage, soumettant celle-ci par la peur et le chantage.
De nombreuses initiatives ont vu le jour en France , en réaction à cet état de fait . Arthémisia veut apporter sa contribution à ces initatives en proposant notamment de les relayer et de les ancrer dans la population locale.
Elle entend aussi mener ses propres initiatives qui pourront être relayées par leurs partenaires.
La crise actuelle est un prélude à d’autres mesures qui ne manqueront pas de menacer nos libertés et notre démocratie dans un avenir proche.
Celles-ci pourront se dissimuler sous des prétextes de sécurité, d’écologie ou d’économie avec les outils insidieux du contrôle numérique.
Nous entendons tirer les leçons de ces 2 ans de servitude pour combattre pied à pied toutes les atteintes à nos valeurs et à nos libertés fondamentales.
Nous espérons voir se constituer un vaste mouvement solidaire et unitaire auquel nous contribuerons autant qu'il le faudra.